29 juin 2012
Du 11 au 22 juin 2012, dix étudiant-e-s du Brésil, de France et du Sénégal ont participé à la première édition de la Summer School.
Le programme a été mise en place par l’institut entrepreneuriat & PME de la HEG, qui a développé ce nouveau programme dans le but de tisser des liens internationaux et culturels sur l’entrepreneuriat et l’innovation entre des étudiants du master d’ici et d’ailleurs. Au travers de cours intensifs et de visites d’entreprises novatrices en Suisse, différentes approches ont été présentées favorisant la transmission de connaissances, d’outils et de réflexions utiles à ces futurs entrepreneurs internationaux.
Pendant deux semaines, ces futurs entrepreneurs ont eu l’occasion de participer à un enseignement de qualité du Prof. Louis Jacques Filion titulaire de la chaire d’entrepreneuriat à la HEC Montréal, tout en découvrant des entreprises novatrices. Citons l’atelier BrainGym de Swisscom à Berne, les centres Technopark et Banking & Innovation du Credit Suisse à Zürich, l’entreprise métallurgique Extramet située à Plaffeien, la rencontre avec des experts créatifs, comme Elmar Mock, auprès de Creaholic à Bienne, les inventeurs horlogers de Greubel Forsey à la Chaux-de-Fonds, le Novartis Campus à Bâle et l’incubateur technologique Venturi à Villaz-St-Pierre.
Pour Rico Baldegger, directeur de l’institut entrepreneuriat & PME, il est important que les participants de la Summer School perçoivent également la culture helvétique. Des professeurs et des étudiants de la HEG Fribourg ont accueilli et logé ces participants. Les visites de la fabrication du fromage et du chocolat, ainsi que la dégustation d’une fondue suivie d’une escapade en canoë kayak sur le Lac de la Gruyère ont favorisé leur découverte. Erica Berger Medina, étudiante au Brésil et fondatrice d’une société de conseil en marketing à Sao Paolo s’est réjouie de cette expérience: « J’ai trouvé que la Summer School était une expérience extraordinaire! J’ai particulièrement apprécié les présentations d’entreprise qui m’ont donné une idée sur la qualité et la façon de travailler en Suisse». Marilyne Pasquier